Tussen veel vuren: het soeverein-baljuwschap van Vlaanderen in de vroegmoderne tijd (1500 - 1733)
In: Anciens pays et assemblées d'états 106
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In: Anciens pays et assemblées d'états 106
In: Austrian and Habsburg Studies 31
More Than Mere Spectacle -- Contents -- Illustrations -- Acknowledgments -- Abbreviations -- Note on Place Names -- Introduction -- Chapter 1. The Care of Thrones -- Chapter 2. Meaningless Spectacles? -- Chapter 3. The Hungarian Coronations of Charles VI and Leopold II and the Representation of Political Compromise -- Chapter 4. Maria Theresa, the Habsburgs, and the Hungarian Coronations in the Light of the Coronation Medals, 1687-1741 -- Chapter 5. The Bohemian Coronation of Charles VI and Its Hidden Message -- Chapter 6. Inaugurations in the Austrian Netherlands -- Chapter 7. Conditioning Sovereignty in the Austrian Netherlands -- Chapter 8. Shaping a New Habsburg Territory -- Chapter 9. Pageantry in the Revolutionary Age -- Chapter 10. After 1848 -- Afterword -- Index.
Wim Cöp, Het spel van de macht. De familie Van Broechoven en de politieke en economische elite in 's-Hertogenbosch tussen 1597 en 1629 (Ph.D Tilburg University 2014; Hilversum: Verloren, 2015, 344 pp., isbn 978 90 8704 464 0).
BASE
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Band 58-1, Heft 1, S. 53-79
ISSN: 1776-3045
Le thème central de cet article est l'attitude des autorités autrichiennes, lorsqu'elles obtinrent le pouvoir dans les Pays-Bas méridionaux au début de l'année 1716, envers ce qui restait du « Régime anjouin » précédent. L'empereur Charles VI considéra le régime de Philippe d'Anjou, ou Philippe V d'Espagne, comme illégitime et par conséquent annula certains actes juridiques anjouins : patentes d'anoblissement, nominations de fonctionnaires, pensions, etc. Les partisans les plus fervents de Philippe d'Anjou furent menacés de confiscations. Ceci ne constitua néanmoins qu'un des aspects de la politique de Charles VI. Pour des raisons pratiques, l'empereur, dont l'autorité dans les Pays-Bas méridionaux n'avait pas encore de base solide, fut contraint de modérer et d'annuler tout ou partie de certains de ses décrets. Les protestations ou les requêtes présentées par des fonctionnaires ou des membres des élites des Pays-Bas contribuèrent incontestablement à ce revirement. Les autorités autrichiennes décidèrent même de conserver certaines réalisations fiscales et institutionnelles du régime anjouin. Cette attitude ambiguë envers le passé anjouin peut, à mon avis, s'expliquer par le fait que ce régime nouveau était à la recherche de fondements solides pour le gouvernement. L'empereur, pour assurer son autorité, n'osa pas se mettre à dos les élites locales et opta consciemment pour l'adoption de certaines taxes ou institutions anjouines, alors même qu'il proclamait l'illégitimité de ce régime. ■